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Note : 98/100
Service : 99/100 (je réserve le 100/100 au French Laundry – Californie)
Lieu : Paris – Date de dégustation : mai 2007

Testé aussi en 2008 : voir

1ère expérience à l’Astrance – Paris (XVIe) de Pascal Barbot et Christophe Rohat. Table 3 étoiles Michelin.
La précision et l’émotion de cette cuisine sont ce qui se fait de mieux aujourd’hui. Le service orchestré par Christophe Rohat est probablement le meilleur en France.

Note : 76/100
Service : 65/100
Lieu : Le Perreux sur Marne – Date de dégustation : mai 2007

Jean Chauvel vous transporte dans un théâtre du goût. Chaque plat est un spectacle ludique qui vous plonge dans des souvenirs d’enfance : glace kim pousse, l’arrosoir apportant la pluie sur les escargots baveux, le sandwich jambon beurre à boire, etc… Tout n’est pas réussi sur l’équilibre de la sapidité mais l’imaginaire prend le dessus. Une table de contes d’enfant à découvrir absolument.

Note : 66/100
Service : 70/100
Lieu : Paris – Date de dégustation : mai 2007

Un concept de partage qui permet la découverte d’Alain Dutournier. Ses variantes du sud-ouest sont multiples et on se prête vite au jeu. L’équilibre et la finesse ne sont pas toujours au rendez-vous. Mais dans l’ensemble, on savoure très volontiers ces tapas. Il manque pour moi la touche acide qui apporte de la tension dans les préparations.

Les + : concept, manger avec les doigts (donne une autre sensation aux mets), partage

Les – : manque d’équilibre souvent trop gras, on cherche l’acidité

Note : 86/100
Service : 65/100
Lieu : Fontoncouse – Date de dégustation : avril 2006

Construction visuelle tout en hauteur. Une cuisine de Gilles Goujon sur la corde mais qui passe toujours. Un voyage dans la garrigue pour l’olfactif.
J’aime cette table car on a un côté fake années 80, mauvais goût de la déco, grandes assiettes, immenses verres mais au final on est bien sur ces trônes rouges.
Bémol : le service
Les + : le plateau de fromages et le rapport qualité/prix

Note : 90/100
Service : 95/100
Lieu : Chamonix – Date de dégustation : août 2005

5, 6, … 8 … 10 ingrédients sont souvent trop trouvés dans la dégustation d’un plat. Le chef veut souvent en mettre trop car il trouve que cette herbe apporte de la couleur sur son assiette . Mais à quoi bon : cela n’apporte rien et la lecture devient confuse.
Ici le chef Pierre Maillet a une vision très différente – 3 notes – pas plus ! La lecture de sa cuisine est claire : bravo.
Et oui, la cuisine d’émotion, comme les grands vins c’est la précision, la justesse qui donne de la tension – jamais l’extraction – d’ailleurs les vins de garage ne sont-ils pas déjà morts ?
So hard to be simple…